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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 14:38

         C'est surtout depuis le XVIIIe, plus précisément dans la foulée des guerres de la République française et de l'Empire français que les études sur la petite guerre reprennent après une longue éclipse (ce qui ne veut pas dire qu'elle s'était arrêtée d'exister).

Bernard PESCHOT (La notion de petite guerre en France (XVIIIe siècle), Les Cahiers de Montpellier, n°28, 1983) rend compte qu'en ce siècle, on discute de petite guerre et de guerre de partisans, sans que ces deux notions soient clairement distinguées : la petite guerre recouvre plutôt l'emploi autonome de petits détachements, tandis que la guerre des partisans "désigne, à la fois, les méthodes de combat des soldats détachés dans des partis de guerre qui courent la campagne en avant des armées, et les formes spéciales des guerres civiles dans lesquelles la population est impliquée. Le partisan d'Ancien Régime est donc, suivant le cas, le franc-tireur incorporé aux troupes régulières ou le maquisard sans formation militaire." Cette forme de guerre, selon Bernard PESCHOT, à la croisée de deux "écoles" :

- la tradition cavalière héritière des fronts orientaux européens ;

- l'expérience montagnarde issue des combats contre des partisans civils."

 

       Le chevalier Jean-Charles de FOLARD (1669-1752) commence sa carrière d'écrivain avec un essai sur L'art des partis à la guerre, non publié. Le chevalier de LA CROIX publie un Traité de la petite guerre pour les compagnies franches (1752). Le capitaine LE ROY DE GRAND MAISON (1715-1801)  publie en 1756, un gros livre intitulé La Petite guerre ou traité des troupes légères en campagne, premier ouvrage à connaître une large et durable diffusion. A sa suite, plusieurs ouvrages traitent des même thèmes, comme le comte de la ROCHE en 1770 (Essai sur la petit guerre) dans lequel il tente de dégager des principes. Si la production s'arrête en France dans les années 1790, elle se poursuit dans d'autres pays, en Allemagne notamment, marquée par les campagnes napoléoniennes.

CLAUSEWITZ professe un cours sur la petite guerre en 1810 et intègre les leçons de la guérilla dans son De la guerre. 

Le général Guillaume Philibert DUHESNE (1766-1815) tire les enseignement de la "révolution tactique" des années 1790, dès 1814, dans un Essai historique sur l'infanterie légère qui sera réédité pendant un demi-siècle.

Jean-Frédéric-Auguste LE MIERE DE CORVEY (1770-1832), qui a participé aux guerres de Vendée et d'Espagne, est le premier, dans Des partisans et des corps irréguliers (1823) à ne pas faire de la guérilla un accessoire de la grande guerre et à proclamer que "le but principal de ce genre de guerre est d'obtenir la destruction insensible de l'ennemi". Le partisan doit avoir trois qualités, être sobre, bien marcher et savoir tirer un coup de fusil, leçon que retiennent bien ensuite de nombreux guérilleros modernes.

           Le général russe Denis DAVIDOFF (1784-1839), qui a commandé un corps de cosaques durant la campagne contre Napoléon de 1812, tire de son expérience un Essai sur la guerre des partisans écrit en 1821, dans un grand effort de théorisation. Il lie le développement de la guerre des partisans à l'augmentation des effectifs des armées qui a "introduit dans l'art militaire l'obligation d'entretenir une ligne non interrompue entre l'armée agissante et le point central de ses ressources et approvisionnements". La guerre des partisans consiste à "occuper tout l'espace qui sépare l'ennemi de sa base d'opérations, couper toutes ses lignes de communication, anéantir tous les détachements et convois qui cherchent à le rejoindre, le livrer aux coups de l'ennemi sans vivres, sans cartouches, et lui barrer en même temps le chemin de la retraite". Il se propose d'établir les "principes fondamentaux sur la manière de diriger un parti" qui "ne se trouvent encore nulle part." Son système, fondé sur une base d'opérations, de ravitaillement et de bataille, rappelle fortement celui de JOMINI. Même certains écrits de révolutionnaires marxistes y font référence.

                  La Suisse, avec sa tradition de milices, n'est pas restée indifférente à la guérilla. Citons, entre autres, Aymon de GINGINS-LA-SARRAZ (la guerre défensive en suisse, 1860 et Les partisans et la défense de la Suisse, 1861). Il prône une défense populaire, mais en demandant que l'envahisseur respecte les lois de la guerre qui protègent les populations civiles. Mais il passe pour un original dans son propre pays.

 

           Toutes ces réflexions n'en restent pas au niveau théorique sans application pratique. En France, l'ordonnance de 1823 sur le service des armées en campagne, rédigée par des officiers dont certains avaient participé à la guerre d'Espagne, comporte de nombreux article relatifs à la mise en oeuvre des partisans et aux moyens de les combattre. Mais la charge subversive de cette forme de guerre va entraîner son élimination progressive, sous l'effet combiné de la suspicion du pouvoir politique (royaliste) et du mépris des militaires (corporatisme). (Hervé COUTEAU-BEGARIE)

 

           Ce sont surtout ensuite des auteurs italiens, impressionnés par l'exemple espagnol, qui considèrent la guérilla comme une stratégie utile pour la réalisation de l'unité italienne. Le comte Cesare BALBO (1789-1853) publie en 1821 Della Guerra di Parteggiani, dans une une revue napolitaine. Il se prononce pour la guerre des partisans. En écho, le général napolitain Guglielmo PEPE 1783-1855) publie en 1833, un Mémoire sur les moyens qui peuvent conduire à l'indépendance italienne, et en 1836, L'italia militare e la guerra di sollevazione. Il insiste sur le soutien que les bandes de partisans peuvent apporter à l'armée régulière. De même, Carlo Bianco di Saint JORIOZ (1795-1843) écrit en exil à Malte en 1830, le volumineux Della guerra nazionale d'insurrezione per bande qui inspire l'action militaire de MAZZINI. En relation avec les Italiens, d'autres insurgés, polonais, rédigent de semblables essais. Tant dans le camp des partisans que dans le camp de leurs adversaires officiers, prolifèrent les écrits, tous mettant en avant la valeur certaine des actions de guérillas, avant souvent, que les organismes officiels, lesdites guérillas passées et réprimées, mettent ces écrits à l'index. Mais, à l'inverse, Hervé COUTEAU-BEGARIE s'étonne de l'extrême rareté des écrits sur la lutte anti-guérilla.

 

            Pour la période 1870-1939, l'auteur du copieux Traité de stratégie estime que les guérillas retournent à la marginalité, en tant que tel sur le plan littéraire. Citons comme lui tout de même certains auteurs qui y voient un élément important sur le plan stratégique :

- Anne-Albert DEVAUREIX, De la guerre de partisans, son passé, son avenir, 1881;

- V. CHARETON, Les corps francs dans la guerre moderne. Les moyens à leur opposer, 1900 ;

- Thomas Miller MAGUIRE, Small war, 1899 et Guerilla or Partisan Warfare, 1904 ;

- Charles Edward CALLWELL (1859-1928), avec sa référence historique majeure, Small wars, 1896. Dans cet ouvrage, il y énonce la loi, souvent reprise ensuite, de supériorité tactique et d'infériorité stratégique des armées régulières face à des combattants irréguliers plus mobiles, qui n'ont pas à se soucier de leurs communications. (Petites guerres, ISC-Economica, Bibliothèque stratégique, 1998).

- T. E. LAWRENCE (1888-1935), acteur de la révolte arabe contre les Turcs, Les sept piliers de la sagesse, plusieurs fois remanié (1919-1926).

 

       Mais c'est surtout l'école marxiste ou marxiste-léniniste qui produit les analyses les plus prolifiques sur les guérilla.

A noter que les positions d'origine de nombreuses des réflexions de ces auteurs se situent de manière globale à l'opposé de nombreux autres précédemment cités. La guérilla est souvent, au début, menée contre une armée régulière en l'absence d'appui ou de soutien à une armée du camp des révoltés. MARX et ENGELS, bon connaisseurs de problématiques militaires sont convaincus que à l'image de la bourgeoisie qui a créé, avec la nation armée, son propre mode de combat, l'émancipation du prolétariat trouvera sa propre expression en ce domaine. Levée en masse et guérilla, explique Karl MARX, sont les méthodes par lesquelles une force relativement faible résistera aux coups d'une armée plus forte et mieux préparée. LENINE et TROTSKI reprennent leurs analyses et donnent aux facteurs idéologiques et populaires une part majeure, en insistant sur les conditions préparatoires, à travers le parti, aux opérations militaires. Si l'historiographie soviétique suit les mêmes idées jusqu'à la Seconde Guerre Mondiale, nourries de la guerre civile russe d'ailleurs entre les Blancs et les Rouges, une rupture nette intervient en 1941, lorsque STALINE revient à des conceptions plus classiques, tout en n'abandonnant pas la guerre des partisans.

      Les réflexions au sein de l'Armée populaire yougoslave, dans un pays qui s'est libéré en grande partie grâce à des actions de guérillas, demeure marquée par cette expérience, qui transparait dans le thème de la défense populaire généralisée, malgré un retour là aussi à des conceptions plus classiques.

        La synthèse entre guérilla et actions militaires régulières est surtout effectuée par l'école chinoise, dans le concept de guerre révolutionnaire. MAO ZEDONG voit dans le prolétariat industriel la force dirigeante révolutionnaire, qui met en oeuvre, à partir d'une infrastructure clandestine, une guérilla moderne, union intime entre le peuple et l'armée.

         Partant de l'expérience chinoise, les stratèges marxistes vietnamiens - HO CHI MINH, PHAN VAN DONG et VO GNUYEN GIAP, développent méthodiquement les éléments d'une résistance, puis d'une défense populaire. 

         Dans le même schéma, le FLM algérien entreprend une lutte de libération nationale contre la France, en alliant terrorisme sélectif et opérations militaires complexes.

     Les expériences cubaine, malaise, somalienne, nicaraguayenne, colombienne... constituent autant de modèles ou de variantes sur le thème de l'organisation systématique d'une guérilla. Sans oublier bien entendu la figure emblématique de CHE GUEVARA (1928-1967), dont l'action après son expérience cubaine eut bien plus d'effets idéologiques (notamment en Occident) que pratiques en Amérique Latine.

 

      La multiplication des conflits de basses intensités multiplie les situations où la guérilla est largement employée, sans que l'on distingue souvent les objectifs véritables de leurs acteurs.

Le soutien de certaines populations en leur faveur ne sont pas le gage forcément du caractère véritablement populaire (en terme d'objectifs) de leur lutte... La phraséologie idéologique n'éclaircit pas la situation, tant le camouflage devient une seconde nature. En Afghanistan et dans de nombreux pays d'Afrique, des actions de guérillas sont menées par souvent tous les camps en présence. Une certaine théorisation de l'ensemble des guérillas est menée par différents auteurs, notamment de géopolitique, tel Gérard CHALIAND. Il semble que nous soyons entrés dans une période d'analyse plus que dans une période d'instrumentalisation de l'expérience de la guérilla, excepté sans doute d'un tout autre phénomène, de l'organisation de forces de maintien de l'ordre en prévision de guérilla urbaine. L'absence de réflexions de l'institution militaire en général sur la guérilla depuis le XVIIIe siècle l'a conduite à de nombreux mécomptes dans les colonies de l'Occident. Il semble que de nombreuses institutions policières ne veulent pas commettre la même erreur, dans de nombreux pays, tant en Orient qu'en Occident.

 

Petite guerre

   Avant la dénomination de guérilla, c'est le terme de petite guerre qui est utilisé aux XVIIIe et XIXe siècles pour désigner le type de combat mené par les partisans et les corps d'irréguliers. Dans la littérature, en plein développement des cadres étatiques de la chose militaire, ce terme entre bien dans une certaine dévalorisation de la guérilla, par rapport à l'utilisation d'une force organisée, disciplinée, aux ordres d'une autorité centrale qui doit disposer de la violence armée de manière inconditionnelle. La doctrine même de la petite guerre puise ses sources dans les manuels de stratégie classiques, comme le Stratagematicon de Jules FRONTIN, et aussi dans une pratique - très critiquée par les officiers supérieurs qui se targuent d'honneur - qui se développe - contre leurs troupes - au XVIIe siècle, tout particulièrement pendant la guerre de Trente Ans.

   La petite guerre est en fait une forme de ce que l'on appelle communément la stratégie, ou approche, indirecte. Sous des aspects divers, la petite guerre existe depuis toujours. Sa pratique est rare au Moyen Age occidental, à quelques exceptions près, comme celle de Bertrand DU GUESCLIN, qui appliqua une tactique de harcèlement face aux Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Jean-Charles FOLARD, auteur de L'Art des partis en guerre, et Maurice de SAXE figurent parmi les premiers stratèges occidentaux de grande renommée à s'intéresser de manière systématique au phénomène de la petite guerre. La période qui précède la percée napoléonienne, et celle qui la suit, voient une véritable explosion de textes consacrés au sujet, et ce de manière non péjorative.

Dans un premier temps, à partir de 1750, ces manuels spécialisés comprennent le Traité de la petite guerre de DE LA CROIX (1752), La Petite Guerre de M. de GRANDMAISON (1756), Le Partisan ou l'art de faire la petite guerre de DE JENEY (1750), L'Art militaire du partisan de SAINT-GÉNIE (1769), l'Essay sur la petite guerre de Roche AYMON (1770), Abdandlung über der Kleinen Krieg de von EWALD (1790), Der Parteigänger im Kriege d'Andreas EMMERICH (1791) et Abdandlung über den Kleinen Krieg und über den Gebraunch der Leichten Truppen de VALENTINI (1799) qui fait valoir son expérience de la guerre contre la jeune République française.

La deuxième vague voit apparaitre un nombre important de traités écrits par des vétérans des guerres napoléoniennes. Denis DAVIDOFF publie un excellent ouvrage, Essai sur la guerre des partisans (1821), tiré de son expérience à la tête d'un groupe de partisans chargés de harceler les troupes françaises au cours de la campagne de Russie. L'autre grand texte sur la petite guerre, celui de Mière de CORVEY, Des partisans et des corps irréguliers (1823), offre la perspective inverse d'un soldat ayant dû subir l'assault de troupes de partisans (en Vendée et en Espagne). Parmi les autres textes issus des guerres napoléoniennes figurent Leichte Truppen ; Kleiner Krieg (1814) de SCHELS et Instruccion de guerilla de Felipe de SAN JUAN (1823).

    Les grands théoriciens de la guerre s'intéressent aussi à cette forme de combat. SCHARNHORST lui consacre un livre entier, Militärische Taschenbuch (1792), alors que CLAUSEWITZ enseigne plus tard un cours sur la petite guerre à l'académie militaire de Berlin (1811), cours inspiré par les théories énoncées par EWALD et VALENTINI. JOMINI reprend également plus tard les idées de Mière de CORVEY pour un chapitre de son Précis. Parmi les autres textes importants de cette période, on peut citer le livre de Carl von DECKER, Der Kleine Krieg im Geiste der Neueren Kriegführing (1822), dans lequel il développe l'idée que la petite guerre est plus complexe que la guerre classique, et Partyzanka czyli Wojna dla ludow powstajacych najwlascincsza de Karol STOLZMAN (1844), dans lequel l'auteur perçoit déjà le lien entre tactiques irrégulières et objectifs politiques révolutionnaires tels qu'ils apparaitront au début du XXe siècle.

    Alors qu'en Europe la doctrine de la petite guerre subit une éclipse pendant la seconde moitié du XIXe siècle - avant de réémerger sous une forme nouvelle et sous son appellation espagnole de Guérilla - un corpus théorique est établi à partir de l'expérience coloniale des Français et des Anglais en Afrique et en Asie. Von DECKER est l'un des premiers à offrir une analyse de la guerre en Algérie dans son Algerien und die dortige Kriegsführung (1844). Il manifeste des doutes sur les chances des Français à entreprendre un combat pour lequel, selon lui, les armées classiques sont mal adaptées. Les soldats français, pense-t-il, n'auront pas la patience nécessaire pour endurer une guerre d'usure, analyse juste pour ce qui concerne la deuxième moitié du XXe siècle mais qui sous-estime la capacité des soldats français de son époque à s'adapter à une situation nouvelle. Thomas BUGEAUD tout d'abord, puis Joseph GALLIENI et Hubert LYAUTEY savent imiter et développer de façon remarquable, pour les experts en la matière, la tactique de leurs adversaires pour conquérir et administrer leurs nouveaux territoires. L'expérience coloniale anglaise trouve son théoricien en la personne de C.E. CALLWELL, qui publie son ouvrage, devenu classique, Small Wars, en 1899.

    Dans leur très grande majorité, les théoriciens de la petite guerre des XVIIIe et XIXe siècles tirent leur doctrine de la propre expérience. La plupart soulignent le fait que ce type de guerre est déterminé, plus encore que dans la guerre classique, par des facteurs géographiques, humains et économiques qui sont chaque fois uniques. Quelques principes fondamentaux se dégagent toutefois de ces ouvrages fondés sur des expériences aussi nombreuses que variées, principes que l'on retrouve d'ailleurs dans les doctrines de guérilla contemporaines.

Tout d'abord, les observateurs de la guerre de partisans accordent unanimement une place importante aux aspects psychologiques du combat. Le partisan lui-même doit être motivé, et la tactique à laquelle il participe a pour but de miner le moral et de détruire la volonté de son adversaire. La petite guerre est une guerre d'usure. Ses résultats sont rarement spectaculaires mais possèdent une vertu d'accumulation. Ses objectifs requièrent une patience à toute épreuve. Le soutien actif ou passif des populations locales est vital pour le succès de l'entreprise. Pour celui qui est la cible de ce genre de tactique, une seule approche peut permettre de refouler l'ennemi : l'application de la tactique adverse, de s'aliéner les populations locales.

    Au niveau de la tactique, la petite guerre se caractérise par le refus de l'engagement direct, du choc frontal, de la bataille décisive. C'est une tactique de harcèlement perpétuel visant à déséquilibrer l'adversaire en coupant ses lignes de communication et en détruisant (ou en s'appropriant) ses convois d'approvisionnement. Les embuscades et les raids nocturnes font partie des tactiques les plus courantes. L'adoption de cette méthode de combat est considérée le plus souvent comme un choix stratégique de dernier recours mais qui peut être décisif à long terme. Ses observateurs et ses théoriciens envisagent pour la plupart la petite guerre comme un phénomène militaire avant tout. Ce n'est que plus tard que sa dimension politique, voire idéologique, est véritablement comprise et exploitée, lorsque l'on parle alors de "guerre révolutionnaire".  (BLIN et CHALIAND)

 

Hervé COUTEAU-BEGARIE, Traité de stratégie, Economica/Institut de stratégie comparée, 2002. Bernard PESCHOT, La Guerre buissonnière, CFHM/Economica, 2002. Arnaud BLIN et Gérard CHALIAND, tempus, 2016.

 

 

STRATEGUS

 

Complété le 11 octobre 2019. Relu le 21 juin 2020

 

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commentaires

K
Je viens d'apprendre que l'Essai sur la guerre de partisans de Denis Davidoff, vient d'être réédité aux Editions Astrée (www.editions-astree.fr). La dernière édition datait de 1841 si je ne me<br /> trompe...
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G
<br /> <br /> Merci de cette information. La dernière édition était effectivement ancienne.<br /> <br /> <br /> <br />

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